Montaigne a fait du doute une morale et une sagesse préparant à la rencontre avec l’absolu, par l’apprentissage de la relativité de toutes choses. Descartes a fait du doute une méthode de recherche de la vérité fondée sur l’exclusion de tout ce qui n’est évident et clair pour la conscience. Husserl fait du doute le moyen par excellence de pouvoir devenir attentif au vécu et créer la science du vécu sous la forme de la phénoménologie.
